La surpopulation carcérale bat toujours de nouveaux records. En juillet, c'était 78 509 détenus qui étaient incarcérés dans les prisons françaises. Or, le nombre de places en prison n'est que de 61 869. Il y a donc plus de détenus qu'il n'y a de places. Cela fait un taux d'occupation moyen de 127 % sur tous les établissements pénitentiaires.
La surpopulation pénale a des conséquences terribles pour les conditions de détention des détenus (matelas au sol, hygiène, soins). Pour lutter contre les conditions de détention indignes, faites appel à Maître Charly Salkazanov, votre avocat en droit pénitentiaire dans le barreau du Val-de-Marne, qui intervient dans toute la France et à l'aide juridictionnelle pour tous les contentieux face à l'administration pénitentiaire.
Sans hésiter, ce sont les maisons d'arrêt qui souffrent le plus de la surpopulation carcérale. Pour rappel, les maisons d'arrêt accueillent des personnes détenues qui sont en détention provisoire et donc présumées innocentes (car elles sont mises en examen, prévenus, et attendent leur procès), ou alors les détenus qui ont été condamnés à de courtes peines.
Plus d'un quart des personnes détenues sont en détention provisoire. La situation est dramatique. En effet, ces détenus attendent leur jugement et n'ont donc pas encore été condamnées. Elles sont donc en prison alors qu'elles sont présumées innocentes.
Certains établissements accueillent plus du double de détenus que prévu. Ils sont à 200 % d'occupation.
Ce sont les maisons d'arrêt de Bayonne, Rochefort, Tulle, Tours, Amiens, Béthune, Montluçon, Fresnes-Villejuif, Gagny, Fontenay-le-Comte, La Roche-sur-Yon, Laval, Saint-Brieuc, Vannes, Perpignan, Toulouse Seysses, Carcassonne, Foix, Nîmes, Rodez.
La maison d'arrêt de Mayotte, Majicavo, bat des records avec 274,6% de surpopulation carcérale. Celle de Remire-Montjoly en Guyane n'est pas loin.
Maître Charly Salkazanov, votre avocat en droit des détenus, peut intervenir dans chacun de ces établissements !
La surpopulation en prison a des conséquences graves pour tous les détenus. Ce sont plus de 3 500 personnes détenues qui dorment sur un matelas par terre, posés à même le sol, dans des conditions d'hygiène, de sécurité et d'indignité les plus totales. Ce nombre de matelas au sol ne cessent d'augmenter.
Plus de 31 000 détenus sont incarcérés dans des établissements où la surpopulation dépasse les 150 %.
Le cabinet de Me Charly Salkazanov est réputé en droit des prisonniers. Maître Salkaznaov intervient régulièrement contre les conditions de détention indignes. Il pourra donc vous conseiller.
La surpopulation pénale a toutes les raisons de vous inquiéter. En effet, cette surpopulation dégrade les conditions de détention. Elle nuit aux détenus. Leurs conditions de vie et de réinsertion en sont dégradées. Aucune chance de pouvoir travailler, de se former, d'avoir accès aux soins ou de voir son ou sa CPIP si la prison est surpeuplée.
Si un proche souffre de la surpopulation pénale, car il dort sur un matelas au sol, partage une cellule individuelle avec d'autres détenus, ne peut avoir accès aux sanitaires, aux douches ou toute autre activité, saisissez tout de suite Me Charly Salkazanov, votre avocat en droit pénitentiaire qui intervient dans toute la France.
Contactez en urgence le cabinet de Maître Salkazanov via le formulaire de contact ou par téléphone au 06.80.80.62.31.
Faites appel à un avocat engagé auprès des détenus pour faire valoir vos droits. Le cabinet de Maître Charly Salkazanov accepte l'aide juridictionnelle pour toutes les procédures administratives.