Triste nouveau record à la maison d'arrêt de Nantes : 978 détenus s'entassent pour 508 places. Ces chiffres catastrophiques reflètent la surpopulation pénale en France. Les prisons françaises peuvent accueillir 62 000 détenus. Or, ce sont 78 000 personnes détenues qui sont incarcérés dans des établissements pénitentiaires. Pour faire valoir les droits des détenus, faites appel à un avocat réputé en droit pénitentiaire, comme Me Charly Salkazanov, qui a choisi de défendre les prisonniers face à l'administration pénitentiaire.
La maison d'arrêt de Nantes n'est pas la seule touchée par la surpopulation. Les maisons d'arrêt du Pays de la Loire sont au bord de l'explosion. Elles sont à 200 % d'occupation. Il y a donc deux fois plus de détenus que ce qui est prévu. Il n'est donc pas étonnant que les tensions, incidents et conditions de détention indignes se multiplient dans ce contexte alarmant.
A la maison d'arrêt de Nantes, de nombreux détenus sont obligés de dormir sur des matelas au sol. Il y a 170 lits mais 230 matelas au sol. Une telle situation caractérise des conditions de détention indignes pour la Cour européenne des droits de l'homme. Et c'est sans compter les nouveaux arrivants...
Les personnes incarcérées à Nantes subissent donc des conditions de vie difficiles dans une prison saturée.
Les conditions de détention à la maison d'arrêt de Nantes sont indignes : surpopulation pénale, matelas au sol, canicule, chaleur, tensions et violence. Maître Charly Salkazanov, avocat en droit pénitentiaire, défend les prisonniers face à l'administration pénitentiaire.
Des risques de violence, un personnel pénitentiaire débordé... Faites valoir vos droits !
En effet, la situation explosive favorise les tensions entre détenus et surveillants pénitentiaires. C'est une spirale infernale. La surpopulation génère des tensions.
Il y a 10 surveillants pour 400 détenus. Forcément, les agents pénitentiaires sont débordés. Et les cellules prévues pour 2 personnes en accueillent 4. Le climat est idéal pour les débordements.
Cela entraîne donc un risque de sanctions au quartier disciplinaire avec passage devant des commissions de discipline, mitard, quartier disciplinaire. Ou encore des retraits de droit, comme des décisions de déclassement, du retrait de travail, ou encore des privations de télévision, de téléphone, ou des retraits de permis de visite.
La surpopulation pénale est aggravée par la canicule au mois d'août. La situation est tendue. En effet, les prisons ne sont pas épargnées par les vagues de chaleur. Avec les températures élevées du mois d'août, les conditions de vie sont difficiles à supporter pour les personnes placées sous écrou. Il faut donc agir et faire valoir ses droits !
Les maisons d'arrêt accueillent des prévenus, soit des personnes placées en détention provisoire qui attendent leur procès, des personnes condamnées à petites peines et des peines courtes, ainsi que des individus en attente de placement en centre pénitentiaire.
Peu importe les raisons de leur placement en maison d'arrêt, les personnes détenues n'ont pas à subir des conditions de détention indignes. Elles doivent donc faire valoir leur droit.
Pour cela, il faut saisir un avocat qui leur permettra d'agir et de se battre face à l'administration pénitentiaire, comme Me Charly Salkazanov qui a choisi d'exercer comme avocat au service des prisonniers.
Il faut contacter tout de suite votre avocat en droit pénitentiaire qui répondra à toute vos questions par ce formulaire de contact ou au 06.80.80.62.31 en cas d'urgence (7 jours sur 7, 24h/24).
En plus, le cabinet de Me Salkazanov accepte l'aide juridictionnelle pour tous les recours administratifs face à l'administration pénitentiaire.
Un proche subit des conditions de détention indignes ? Faites appel au cabinet Charly Salkazanov, un avocat engagé au service des détenus.